Zimmer 483

L’album débute par le fameux morceau «übers ende der welt», premier single de l’opus dont tout le monde connaît déjà la mélodie qui sonne comme le premier tube de ce nouvel album.
La seconde chanson intitulée «totgeliebt» commence par une intro de guitare et chant , le premier couplet reste calme mais est rapidement suivi par une accélération du rythme. Le thème est accrocheur et la différence entre les couplets et le refrain structure parfaitement ce deuxième extrait de l’album.
La chanson «spring nicht», prévue pour être le second single, garde cette même organisation, la conclusion du morceau se fait par l’apparition d’un son de guitare acoustique.
«Heilig» suit la même voie, c’est a dire le parfait cheminement vers le tube, plus les chansons défilent plus l’évolution du groupe se fait ressentir, ils adoptent un son plus saturé et plus lourd ce qui met le chant plus en avant.
«Wo sind eure hände» montre bien cet effet de saturation et de puissance de la guitare avec un son métal sur le refrain.
Tom affirme ses progrès par un solo de qualité avec quelques interventions de la voix , suivi d’une coupure du chant on passe a un retour du refrain.
Le sixième morceau «stich ins glück» débute quand a lui par une guitare acoustique, on pense tout de suite a un clin d’œil a la chanson mondialement connue de Nirvana « Come as you are » .
«ich brech aus» est la touche punk-rock de l’album , thème rapide a la guitare qui subit tout de même des variations, les instrument sont principalement mis en avant par rapport au chant.
La chanson suivante «reden» garde un rythme très régulier mais la guitare est moins mise en avant par rapport aux autres titres de l’album.
Lors de la chanson «nach dir kommt nichts» on ressent une fois de plus l’influence du groupe Nirvana mais l’organisation du morceau suit le même schéma que pour les autres pistes du cd.
«wir sterben niemals aus» est un retour au début du groupe car l’on retrouve des similarités à la magnifique chanson « gegen meinen willen » qui est un titre de référence de l’album Schrei.
«vergessene kinder» débute par la guitare et le chant seuls, la basse et la batterie les rejoignent sur le refrain afin de donner plus d’importance au thème. Le refrain est ensuite suivi d’une accélération en crescendo accompagné par des double voix, on peut comparer ce morceau avec le dernier single de Green Day de l’album « American Idiot » ; « wake me up when september ends ».
Arrive ensuite le dernier extrait de l’album intitulé «an deiner seite (ich bin da)» , on sent ici clairement l’inspiration de la chanson « durch den monsun » issue du premier album, guitare acoustique et voix présente ici la principale inspiration.
La basse soutient les accords de la guitare de façon a ce que la voix soit plus facilement mise en avant, la batterie rejoint le reste du trio qu’à partir du milieu du thème.